Publicité
- Accueil
- Actualités
- Jean Claude de l’Estrac: « Nous avons aujourd’hui un gouvernement bicéphale »
Jean Claude de l’Estrac: « Nous avons aujourd’hui un gouvernement bicéphale »
Navigation principale
What's HOT

2 min.
229 Vues
share
Main picture

The SoundCloud content at https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/254224595&%3Bcolor=ff5500&%3Bauto_play=false&%3Bhide_related=false&%3Bshow_comments=true&%3Bshow_user=true&%3Bshow_reposts=false is not available, or it is set to private.
En tant qu’observateur politique, Jean Claude de l’Estrac estime que « nous avons un gouvernement bicéphale ». Lindsay Rivière et lui étaient les invités, ce mardi, du Grand journal sur Radio Plus, animé par Nawaz Noorbux. Le Premier ministre est également intervenu…
Le point de départ : ce qui est connu comme « l’affaire Lutchmeenaraidoo ». Il a aussi été question de la situation prévalant au sein de la majorité. Selon Jean-Claude de l’Estrac, le gouvernement est aujourd’hui « bicéphale », étant dirigé tant au niveau du gouvernement qu’au Sun Trust, quartier général du Mouvement socialiste mauricien.
À propos de Vishnu Lutchmeenaraidoo et de Sangeet Fowdar, il estime que le gouvernement ne devrait pas avoir peur d’une partielle: « Le gouvernement dispose déjà d’une bonne majorité. Cela ne serait pas un drame pour lui, même s’il perd une ou deux partielles. » Quid d’un possible retour de Navin Ramgoolam ? « Pour le moment, il n’a pas de crédibilité, mais il y a des résurrections en politique », souligne Jean Claude de l’Estrac.
Lindsay Rivière estime, lui, qu’il y a une « nervosité générale » au sein de la majorité. Selon lui, Maurice vit une « crise économique qui s’approfondit ». Et de montrer du doigt des mesures gouvernementales qui n’ont pas été implémentées.
SAJ: « Je n’ai pas peur d’une partielle »
Le Premier ministre est intervenu, en direct lors de l’émission, pour faire état de sa sympathie envers le peuple de Belgique à la suite de l’attentat survenu mardi. SAJ s’est dit « choqué et chagriné » . Selon lui, pour combattre le terrorisme, il faut des lois, mais aussi une meilleure coordination entre les pays. Par ailleurs, interrogé sur l’éventualité d’une partielle, SAJ explique que « tant que possible, nous éviterons une partielle ». Si cela devait être le cas, a-t-il poursuivi, « je n’aurai pas peur ». A-t-il tranché dans le cas Lutchmeenaraidoo ? « Je n’ai rien à trancher. Il faut attendre l’enquête de l’Icac », a déclaré le Premier ministre.Image

Partager
share
Quelle est votre réaction ?
Article précédent
Prêt à Lutchmeenaraidoo: trois employés de la SBM entendus
Article suivant
Station météorologique de Vacoas dans l’œil des prévisions
Sur le même sujet
Shefali Jariwala, star de « Kaanta Laga », s’éteint à 42 ans
0 Vues
28 juin 2025