Publicité
- Accueil
- Actualités
- Décès de Suzette Aza: la Santé conclut qu’il n’y a pas eu de faute médicale
Décès de Suzette Aza: la Santé conclut qu’il n’y a pas eu de faute médicale
Navigation principale
What's HOT

2 min.
229 Vues
share
Main picture

Anil Gayan a déposé une copie du rapport de son ministère sur les circonstances entourant le décès de Suzette Aza, atteinte de cancer du sein. Conclusion : les médecins, y compris ceux du Samu, n’ont rien à se reprocher.
Quelles leçons tirer du décès de Suzette Aza, décédée dans l’attente d’une ambulance du Samu alors qu’elle souffrait d’un cancer du sein ? Qu’il faut introduire le système de e-health dans la Santé publique. C’est la recommandation faite dans le rapport découlant de l’enquête interne du ministère de la Santé sur l’affaire. Il n’y a pas eu de faute médicale de la part des médecins, selon le rapport. Le ministre de tutelle, Anil Gayan, en a déposé une copie au Parlement, mardi.
« There is no evidence of Medical Negligence in the management of the case, » peut-on lire dans la conclusion du rapport. Les délais des laboratoires pour les analyses sont également « within normal and internationally accepted time frame (2-3 weeks) ». Plus loin, le ministère de la Santé conclut qu’une copie du rapport histopathologique (étude au microscope des tissus organiques) a été envoyée par erreur de l’hôpital Victoria à l’hôpital SSRN à cause d’un mauvais fonctionnement d’un ordinateur de l’hôpital. Enfin, le Samu a « responded appropriately as per established protocol ».
Le rapport ajoute à ces conclusions quatre recommandations. D’abord, le remplacement du Laboratory Management Information System, ensuite l’accélération de l’implémentation du système de e-health, l’introduction d’un numéro d’identification unique à chaque patient et la création d’un formulaire spécifiques aux analyses histopathologiques.
Le rapport met tout de même en exergue certaines faiblesses administratives de la Santé. D’abord, le Senior Health Records Officer n’a jamais reçu les rapports histopathologiques datés du 24 février et 10 mars 2016. À deux autres reprises, soit le 25 février et le 14 mars, les médecins traitant ont dû prendre connaissance des résultats de tests par téléphone, les résultats ne leur étant jamais parvenus.
Image

Partager
share
Quelle est votre réaction ?
Article précédent
Le député Uteem met en cause l’expérience d’un conseiller
Article suivant
Trois élus de la majorité rappelés à l’ordre
Sur le même sujet
Shefali Jariwala, star de « Kaanta Laga », s’éteint à 42 ans
0 Vues
28 juin 2025